Le Nombre d'Φr
Pentagone régulier: INTRODUCTION	18 
I DANS QUELS CAS LE NOMBRE D'OR EST-IL PLUS PRESENT QU'UN AUTRE NOMBRE  ?	23 
1)   Dans la nature	24 
2)   Dans l'architecture	35 
3)   Dans les mathématiques : géométrie et suites	48 
4) Bilan	66 
II DANS QUELS CAS CE NOMBRE N’EST PAS PLUS PRESENT QU’UN AUTRE ?	73 
1)   Contre-exemple vis-à-vis des proportions humaines	74 
2)  L’abus d’utilisation du nombre d’or dans l’art	82 
3) Démonstration	93 
4) Bilan	95 
CONCLUSION	106 
BIBLIOGRAPHIE	114
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Introduction

 


 1,618 …=              ,

 

qui n’a jamais entendu parler de cette fameuse proportion ? Qui est dite divine par Luca Pacioli, moine de1509 qui publia un ouvrage sur ce nombre, qui fut illustré par Léonard de Vinci. Euclide lança dans la nature une insolite créature mathématique en définissant ce nombre d’or comme « partage en extrême et moyenne raison » et il nota phi la racine positive de x²-x-1=0.

Plus tard, ce nombre est toujours utilisé dans l’architecture ou dans les arts, mais pourquoi l’homme ressent-il « cette  section dorée » comme naturellement harmonieuse ?

Ce fut le sujet de réflexion pour de nombreux philosophes et mathématiciens ; et, c’est ainsi que nous en sommes venus à nous demander si ce nombre était beaucoup plus présent qu’un autre dans notre vie quotidienne.

            Certains dans le groupe pensaient que ce nombre était à l’origine de l’esthétisme alors que d’autres pensaient qu’il n’avait rien de particulier et donc aucun lien avec toute beauté.

            Afin d’avancer dans notre recherche, nous avons établi une correspondance par mails avec Robert Chalavoux, professeur hors-classe, écrivain et créateur des éditions Chalagam ( http://www.futura-sciences.com/comprendre/d/dossier239-1.php ), ce qui nous a permis d’étendre notre réflexion sur ce sujet.

            Pour essayer de comprendre son importance, nous étudierons son omniprésence dans la nature, puis nous analyserons sa présence dans les arts avant de voir où on le retrouve dans les mathématiques telles que figures géométriques ou suites. Ensuite, nous verrons s’il n’y a pas des cas où l’utilisation de nombre d’or est abusive, et si ces approximations ne peuvent pas être à l’origine de beaucoup de théories.

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I Dans quels cas le nombre d'or est-il plus présent qu'un autre nombre  ? 

1)   Dans la nature

Le nombre d’or est un rapport souvent présent dans la nature de façon indiscutable. On le trouve, par exemple, sur des ammonites datant de 100 millions d'années ou sur des coquillages, comme le Nautilus ; dont l'intérieur présente  une spirale formée d'une douzaine de petites loges séparées les unes des autres par des cloisons de nacre. Plus l'animal grandit, plus la taille des loges s'accroît mais la forme du coquillage conserve la structure d'une spirale :

 

 

 

On distingue des spirales sur beaucoup de végétaux, comme par exemple les cœurs de tournesol, l'écorce des ananas ou bien l'écorce des pommes de pin. Ce qui est étonnant, c'est que la suite de FIBONACCI se retrouve dans ces spirales .

 

 

Exemple : La pomme de pin montre clairement les spirales de Fibonacci : 8 vertes dans un sens, 13 rouges dans l'autre sens. 8 et 13 sont deux termes consécutifs de la suite de Fibonacci.

Donc, dans la nature, ce nombre d’or est très courant chez  les animaux, dans les végétaux (arbres, fruits, fleurs, légumes, …), et certes, beaucoup moins dans les minéraux, …mais parce que nous ne savons sûrement pas encore tout ; certains minéraux récemment  découverts présentent des axes pentagonaux ou décagonaux, où l’on peut retrouver le nombre d'or.

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2)   Dans l'architecture

Le nombre d’or est bien présent, en effet on le retrouve dans l’art, qui est une création de l’homme. Il se retrouve dans des constructions préhistoriques comme en témoigne l’exemple du Dolmen de Goërem en équerre.

 

 Le nombre d’or est également très présent dans l’architecture, les Mayas et les Egyptiens semblaient le connaître, il en va de même pour les monuments antiques grecques qui eux aussi obéissent aux proportions du nombre d’or. Pour déterminer le nombre d’or, les bâtisseurs avaient plusieurs moyens : à l’aide de tracés, de comptages de pas ou de coudées ou avec l’hypothénuse de l’équerre ½. Selon certains artistes ou théoriciens le nombre d’or est une proportion esthétique qui contribuerait à l’harmonie d’œuvres picturales, architecturales, etc.

En effet, impossible de parler du nombre d’or sans citer le modulor du Corbusier (1887-1965) architecte français d’origine suisse.

Il cherche à appliquer le modulor , système de proportion tout comme le nombre d’or. Il est basé sur les proportions du corps humain et a été mis au mis au point en 1943. Dans le modulor on a les rapports suivants :

 

 

226/140=1.61=phi ; 183/113=1.62=phi ; 140/86=1.62=phi ; 113/70=1.61=phi ; 70/43=1.62=phi ; 43/27=1.6=phi.

Le modulor permet de respecter l’échelle humaine. Pour Le Corbusier, l’exactitude mathématique le préoccupe moins que de proposer une échelle d’harmonie.

Il n’empêche que le modulor suit la progression de la suite de Fibonacci qui tend vers le nombre d’or.

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3)   Dans les mathématiques : géométrie et suites

Le nombre d’or est une proportion selon laquelle le rapport existant entre la plus grande partie (y) d’un segment coupé en deux et la plus petite (x-y) de ces parties est équivalent à celui existant entre le segment entier (x)  et la plus grande (y) des parties : x / y = y / (x - y).

 

Si l’on prend x=1, on a 1/y = y/1-y ó y² = 1-y ó y²-y+1 = 0, et, la seule racine positive de cette équation de second degré est Φ.

Le rectangle d’or est un rectangle dont le rapport grand coté/petit coté est égal au nombre d’or. Pour le construire, on envisage le carré ABCD.  Où I est le milieu de [AB]. On rabat le point C sur (AB) en E au moyen du cercle de centre I et de rayon [IC]. On construit ensuite le rectangle de cotés AD et AE. On remarque que si AD=1,alors AE= Φ.

Zone de Texte:

 

 

 

 

 

 


            La spirale d’or est une figure est construite à partir d'un grand rectangle d'or. On retire le grand carré au grand rectangle d'or et on obtient un petit rectangle d'or. Ensuite, on retire le petit carré au petit rectangle d'or et on obtient un rectangle d'or plus petit. On réitère l'opération indéfiniment.

 

 

Le pentagone régulier est un polygone à cinq côtés inscrit dans un cercle (tous les points formant le pentagone sont sur un même cercle) et dont tous les côtés et tous les angles ont les mêmes mesures. L'angle entre deux côtés consécutifs du pentagone régulier vaut 108°. Le pentagone régulier est une figure d'or car la proportion entre une diagonale et un côté est le nombre d'or.

AC/AD = Φ

 

Fibonacci est un mathématicien italien du Moyen-âge qui a découvert une suite qui porte son nom. Elle se construit simplement : chacun des termes est égal à la somme des deux précédents. Ce qui donne, par exemple :1-1-2-3-5-8-13-21… ; car il existe plusieurs suites,  tout dépend du nombre de départ. Plus on la prolonge et plus le rapport des deux derniers nombre se rapproche de la valeur exacte du nombre d’or. Il existe aussi une suite géométrique avec, pour nombre de départ 1 et  Φ ; la suite complète est donc : … 1/Φ², 1/Φ, 1, Φ, Φ², …

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 4) Bilan

Pour certains, le nombre d’or est omniprésent et a alors un rapport avec la perfection. Et donc, selon ces personnes, il définit une proportion divine puisqu’elle est en l’homme, créature de Dieu.

Etant donné que nous le retrouvons dans la nature et dans l’art mais aussi dans plusieurs figures géométriques ou suites mathématiques ; en effet, après avoir effectué plusieurs travaux, les scientifiques ont été étonnés de toujours retrouver ce « fabuleux nombre », nous pouvons ainsi aisément en déduire que ce rapport a quelque chose d’exceptionnelle.

Mais, la philosophie du nombre d’or correspond au fait de garder un tout harmonieux ; même si cela ne correspond pas toujours exactement à la virgule près. Le nombre d’or est une proportion esthétique qui contribue donc à l’harmonie d’œuvres picturales et architecturales. Il est appelé «d’or » et « divine proportion » de part son aspect parfait et servit ainsi à construire des temples selon des lois transcendantales c’est à dire des lois qui échappent aux lois de la matière ou du monde.

Le respect de ce nombre d’or, du plus petit détail aux éléments majeurs d’une composition serait à la base de sa beauté. Précisons que ce n’est pas le nombre d’or en lui même qui est beau mais le fait de tendre vers lui. Cette unité de l’œuvre dans les arts est due à la propriété du nombre d’or qui correspond à une esthétique immédiate et continue. Cependant la présence apparente du nombre d’or dans ce qui nous entoure semble contestée par certains mathématiciens et philosophes qui remettent en cause les théories établies jusqu’ici ; c’est ce que nous allons voir dans une seconde partie.

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II Dans quels cas ce nombre n’est pas plus présent qu’un autre ?

1)   Contre-exemple vis-à-vis des proportions humaines

 

 

Précisément dans le cas des proportions humaines, on peut dire que l’homme a cherché à retrouver le nombre d’or dans les dimensions du corps.

En effet, les mesures sont peu précises car on peut les prendre n’importe où sur la main : un écart de quelques millimètres peut les fausser. Elles sont approximatives, comme le spécifie Marius Cleyet –Michaud  dans son ouvrage intitulé Le nombre d’or.

De plus, il faut choisir des unités adaptées aux calculs. On peut alors se demander si ces unités n’ont pas été cherchées dans le but de trouver le nombre d’or à la fin des calculs…

D’après les unités prises et les mesures effectuées, le nombre d’or se retrouverait dans des rapports comme 1/ Φ ², qui serait égal à la paume de la main, ou Φ ² qui serait égal à la coudée. Mais chaque individu étant différent, on peut alors remettre en cause ces mesures. Remarquons aussi qu’elles ont été prises sur des « canons » et non pas sur de nombreuses personnes .On ne peut donc pas faire de généralités .De plus, comme il existe des nombres très voisins du nombre d’or, on ne peut pas se contenter « d’à peu près ». Regardons de plus près comment on été effectuées ces mesures : le haut de la tête et les extrémités des quatre membres sont disposés aux sommets d’un pentagone régulier étoilé inscrit dans un cercle . Le nombril est légèrement en dessous du côté horizontal du pentagone. Le diamètre vertical du cercle est ensuite divisé suivant une valeur égale à 5/3 ou très voisine de ce nombre. Une autre valeur est parfois avancée,  à savoir 8/5. On remarque que les deux rapports 5/3 et 8/5 encadrent le nombre d’or dans la suite traditionnelle de Fibonacci.

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2)  L’abus d’utilisation du nombre d’or dans l’art

Le nombre d’or a fasciné de nombreux chercheurs durant ce siècle, ceci a suscité de nombreux mouvements de contestations de la part de diplômés en art comme Marguerite Neveux, docteur en histoire de l’art et maître de conférence à Paris.

En effet Marguerite Neveux a publié un livre intitulé « Le Nombre d’or, radiographie d’un mythe », résultat de 10 ans de recherche. Elle est convaincu qu’il n’existe pas de loi mathématique de l’esthétisme et explique que c’est à partir de 1932 qu’avec acharnement, les adeptes du nombre d’or et Matila Ghyka lui même ont disséqué, calculé, mesuré…,MARTYRISE  les oeuvres d’art pour y déceler le nombre d’or.

Par exemple sur le tableau ci-dessous, un nombre impressionnant de calculs a été réalisé tout ceci pour ne déceler finalement qu’une approximation du nombre d’or ! On retrouve ainsi le nombre d’or ici où là mais il faut parfois chercher loin !!!

La Naissance de Botticelli

Ainsi pour Marguerite Neveux, les partisans du nombre d’or s’obstinent à retrouver ce nombre partout (Parthénon, temple de Louksor, pyramide de Chéops, peintures de la renaissance à nos jours…). Selon elle, ces scientifiques ont triché pour arriver à leur fin : « Un compas et une bonne dose de mauvaise fois autorisent toutes sortes de conclusions ». Elle s’explique en disant qu’une confusion est volontairement entretenue entre l’inverse du nombre d’or : 0.618 et le rapport 5/8 = 0.625 souvent utilisé en peinture et en architecture. Ainsi les chercheurs auraient abusivement arrondis le rapport 5/8 à 0.618 .C’est de ce fait que l’on a prétendu que certains artistes comme Nicolas Poussin, Paul Cézanne ou Henri Matisse auraient calculés les proportions de leur tableaux en fonction du nombre d’or.

On a donc décelé ou cru déceler le nombre d’or dans des œuvres connues alors que les auteurs de ces œuvres n’avaient en aucun cas cherché à l’utiliser. Il y a donc un abus d’utilisation du nombre d’or. Certains ont conscience de cet abus : Mr Debonne, professeur d’art plastique déclarait ainsi à ces élèves « Il ne faut pas appliquer le nombre d’or à tort et à travers sinon on obtient des choses ridicules. » Il précisait aussi « qu’il ne faut pas se focaliser dessus ».

            Certains artistes ont délibérément utilisé le nombre d’or dans leurs œuvres pour, selon eux, en augmenter la beauté Ce fut le cas de tout un groupe de peintre cubiste français du début du XXeme siècle, dont Jacques Villons.

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3) Démonstration

On sait que pour :     x² - x – 1 = 0

Le delta est : Δ=5

De telle sorte que ses solutions sont :      x1 = ( 1+√(5) )/2

                                                                       x2 = ( 1-√(5) )/2

 

Nous pouvons reconnaître Φ= x1

 

Pour démontrer que Φ n’est pas plus présent qu’un autre nombre nous allons procéder par étapes pour aboutir à une autre équation :

Tout d’abord nous posons x = ( 1+√(n) )/2

Ainsi nous pouvons en déduire x² = ( 1+2√(n)+n )/4

Donc x² - x = [ ( 1+2√(n)+n )/4 ] – [ ( 1+√(n) )/2 ]

Soit x² - x = ( n-1)/4

Donc l’équation est x ²- x - [ ( n-1)/4 ] = 0

 

Ainsi donc, si je veux par exemple ( 1+√(17) )/2 comme solution je choisis donc n=17 que je remplace dans l’équation obtenue précédemment et j’obtiens donc comme nouvelle équation x² - x - 4 = 0

Il en va de même pour tout n.

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4) Bilan

Le nombre d’or représente pour ses partisans la clé de la beauté et de l’esthétisme ainsi qu’une harmonie idéale. Cependant, la notion de beauté semble très relative : chacun n’en a-t-il pas une perception différente. Ce qui paraît beau à une personne ne l’est pas forcément pour une autre.

Comment qualifier alors quelque chose de beau ? Comment faire une généralisation de la beauté ?

On pourrait penser que le nombre d’or a été « choisi » pour définir une forme de beauté. On s’est servi du fait qu’il possédait quelques propriétés plus ou moins valables pour en faire la clé et l’explication de la nature. Il mettrait ainsi tout le monde d ‘accord et servirait d’explication ou de règle si l’on dit qu’il est à la base de la nature.

Au cours des siècles, le nombre d’or aurait été utilisé par de nombreuses personnes croyant en la beauté de ce nombre et pensant ainsi créer quelque chose d’harmonieux et d’esthétique par le simple fait de la présence d’un nombre « banal » dans leur œuvre définit par les hommes comme « modèle d’esthétisme et de beauté » !       

          Le nombre d’or  est-il vraiment omniprésent ou, l’homme l’ayant défini comme modèle d’esthétisme il l’a volontairement introduit partout ?

Nous sommes en effet entouré de rapports dont le résultat se rapproche du nombre d’or : par exemple, le rapport entre les dimensions d’un livre de poche: 1.657, d’ un jeu de carte : 1.534, d’un billet de 100 francs :1.683…Ainsi, ce nombre ou son approximation serait devenu banal ou ordinaire car on retrouve des formats proches du rectangle d’or tout autour de nous.

Mais faut-il se contenter d’à peu près ?

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Conclusion

 

En fait, c’est dans le milieu de la littérature et des artistes que l’on rencontre, et de  beaucoup, le plus d’adeptes du nombre d’or. Quand on pénètre quelque peu dans ces milieux, on s’aperçoit que beaucoup de ceux qui parlent du nombre d’or et qui y croient n’ont que des notions rudimentaires sur les caractères mathématiques de ce nombre, et plus la croyance se fait forte, plus la connaissance est réduite ( la foi se complait souvent dans le mystère ).

Ainsi, l’intérêt que l’on porte au nombre d’or peut se manifester sous diverses formes : ceux qui croient fortement en cette divine proportion et ceux qui considèrent ce nombre comme banal.

 

Ce travail sur le nombre d’or nous a permis d’approfondir notre connaissance sur celui-ci et de trouver des arguments appuyant notre point de vue que l’on soit en faveur de l’omniprésence de ce nombre ou non. Il est vrai que dans certain cas la « divine proportion » associé au nombre d’or est indéniablement présente (comme dans certains exemples développés dans le dossier). Est-ce la preuve du penchant certain pour les mathématiques de  la nature ? Ou bien le nombre d’or est-il tout simplement inévitable, tout comme en géométrie où l’on ne peut diviser un cercle en cinq sans le rencontrer ?

Cela peut nous amener à nous poser de nombreuses autres questions…Ainsi les mathématiques sont-elles une science que l’homme découvre ou invente ? Autant de questions auxquelles nous n'avons pas l'ambition d'apporter une réponse nette et définitive, mais sur lesquelles il est intéressant de se pencher et de faire avancer la réflexion.

 

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Bibliographie

- Autour de Nombre d’Or, Galion thèmes, 1997

- Robert CHALAVOUX, Nombre d’or, nature et œuvre humaine, Chalagam, 2001

- Marius CLEYET-MICHAUD, Le nombre d’or, Presses universitaires de France, Que sais-je ?, 1993, p.31-33, 88

- Olivier VOIZEUX, Un nombre plaqué or, Science&Vie junior, Octobre 1996, n°26,p.79-85

- Nicolas WOERNER, Le nombre d'or, mythe ou mite ? , Les nombres, consulté le 2 octobre 2003

http://www.solest.com/index.php?id=238

- Chalagam édition, consulté le 9 octobre 2003

http://www.chalagam.com

- Barbara PETIT, Le Nombre d'Or et la suite de Fibonacci, consulté le 9 octobre 2003

http://barbara.petit.free.fr/fibonacci/index.html

- Le nombre d’or : outil géométrique, curiosité mathématique, ou nombre magique, consulté le 20 novembre 2003 http://www.ece.fr:8000/~dauvergn/ormenu.html

- Owen Meany, La mythologie du nombre d'or, Vous y croyez, vous ?,      consulté le 4 décembre 2003

http://owen.monblogue.com/2003/4/1

- Huck, Le Nombre d'Or, L'Anneau des Mathématiques Francophones, consulté le 11 décembre 2003

http://www.ifrance.com/expo

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